Quelques infos:
Édition: Philippe Picquier
Date de parution: Septembre 2018
Pages: 176
Mon avis:
A Shanghai, une jeune femme simple d'esprit décrit de l'intérieur la vie de femmes enfermées dans une clinique pour mères porteuses illicite qui tient autant du camp militaire que de la maison close. Face à la violence des hommes, elle montre la solidarité entre les prisonnières, désignées par des numéros mais qui s'attribuent entre elles des noms de fruits.
Le sujet avait tout pour me plaire et les critiques font l'éloge d'un texte décrit comme poétique. Mais voilà, la narratrice est une jeune fille déficiente et c'est un beau bordel dans sa tête. La narration passe du coq à l'âne, impossible de savoir si elle parle du présent ou du passé ou si ce qui se passe est réel ou le fruit de son imagination. Bien que le roman ait été traduit, pour moi c'était du chinois. J'ai abandonné au bout de 50 pages... J'ai un peu honte quand je pense qu'il n'en comporte que 176! Mais quand la mayonnaise ne prend pas, je préfère passer à autre chose.
Ce livre est dans ma wishlist depuis déjà quelques temps, j'espère qu'il me plaira un peu plus...
RépondreSupprimerIl faut aimer les univers onirique. Perso, je préfère les narrations plus conventionnelles.
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